Une fois comparées les dépenses effectuées et les provisions payées, il s’agit de réclamer au locataire le surplus de charges dues ou de lui restituer le différentiel. Ce calcul, et donc la régularisation, ne peut être effectué qu’une fois les comptes de la copropriété votés en assemblée générale.
La maîtrise d’un environnement juridique et réglementaire complexe Ces dernières années, l’environnement réglementaire et légal de l’immobilier n’a cessé de se complexifier, n’épargnant pas le domaine de la location. Un particulier ne dispose pas du temps et des connaissances pour y faire face. En confiant votre gestion locative à CENTURY 21, vous avez l’assurance que les démarches administratives seront effectuées comme il se doit et que les lois et règlements seront respectés. La garantie de ne pas se retrouver en infraction et de devoir en payer les conséquences, au propre comme au figuré.
Des crédits plus hauts, des taux plus bas Les Jeux Olympiques n’ont pas été les seuls pourvoyeurs de sourires durant l’été. Les chiffres concernant le volume des crédits à l’habitat, dévoilés par la Banque de France au début de l’automne, étaient eux aussi porteurs d’optimisme. A 11,3 milliards d’euros en juillet, ils atteignaient leur plus haut niveau depuis mai 2023, très au-dessus du plancher des 6,9 milliards d’euros de mars 2024. La décision prise par la Banque Centrale Européenne (BCE) d’abaisser ses taux directeurs n’est pas étrangère à ce résultat. Le 17 octobre dernier, ils s’établissaient à seulement 3,25 %, en retrait de 0,25 point. Après des mois, voire des années de hausse dans un environ inflationniste tendu, le crédit devenait moins cher avec une inflation désormais inférieure à 2 %. Il en résulte une attitude plus constructive des banques qui avaient jusqu’alors fermé le robinet du crédit.
Une timide remontée des prix au mètre carré Autre bonne nouvelle, les prix au mètre carré semblent repartir à la hausse, même si cette situation n’est pas générale à l’ensemble du territoire. C’est le cas dans plusieurs grandes villes, dont Paris, qui voient le marché de l’ancien reprendre timidement des couleurs. Là encore, le recul de l’inflation n’y est pas pour rien. Conjugué à une augmentation des salaires dans de nombreux secteurs, il induit une augmentation, certes modeste, du pouvoir d’achat immobilier.
Des logements à la vente de plus en plus visités Si pour l’année 2024 le volume global des transactions devrait à nouveau être faible, proche de 800 000, là encore un regain d’activité constaté sur le terrain laisse présager en des jours meilleurs. Chez de nombreux professionnels, l’été fut ensoleillé avec un nombre de visites croissant, plus de compromis signés et des offres qui se concrétisent plus souvent en transactions effectives. À noter le succès inattendu des passoires thermiques dont les ventes s’effectuent presque deux fois plus vite que les biens mieux classés. Elles offrent une décote qui séduise des primo-accédants qui s’engageront plus tard dans la rénovation énergétique. Des primo-accédants particulièrement choyés par les banques puisqu’ils représentent près de la moitié des emprunteurs.
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